Qui sommes-nous?

logo ASBC

La revue Science ouverte est parrainée par l’Association science et bien commun, une organisation à but non lucratif née au Québec en 2011 et dont la mission est « la vigilance et l’action pour une science publique au service du bien commun ». Bien qu’ancrée au Québec, cette Association compte des membres en Europe, en Amérique du sud et en Afrique. La politique linguistique de la revue découle de cet ancrage international, notamment dans les pays du Sud.

L’Association science et bien commun est enregistrée au Québec comme organisme à but non lucratif. Sa charte est disponible sur son site. L’Association n’est financée que par l’adhésion ou les dons de ses membres, ainsi que par des commandites d’organismes qui partagent ses valeurs comme des associations étudiantes ou des syndicats de professeurs. Elle met aussi en vente certaines de ses productions, comme le livre Femmes savantes, femmes de sciences (2014).

La revue Science ouverte, lancée sur le Web en juin 2014, est gérée par le conseil d’administration de l’Association science et bien commun, dont plusieurs membres font partie du comité de rédaction. Son budget est minimal, puisqu’elle met surtout à contribution l’engagement de ses artisans, par exemple dans le troc des traductions.

Elle pourra aussi bénéficier de l’appui logistique du Département d’information et de communication de l’Université Laval (Québec, Canada).

En 2014, la directrice de la revue est Florence Piron, professeure à l’Université Laval et présidente de l’Association science et bien commun. Florence Piron est également webmestre du site, avec Émilie Tremblay, doctorante en sociologie à l’Université du Québec à Montréal.

Le premier comité de rédaction est formé de 12 personnes, six femmes et six hommes de trois continents. Le comité scientifique est en cours de constitution.

En raison de son ancrage dans une organisation de la société civile, la revue Science ouverte a créé un comité conseil de personnes, chercheurs ou non-chercheurs s’intéressant à la pratique contemporaine des sciences, qui porteront un regard de « citoyen » et non d’experts sur les contenus proposés par la revue. Ces personnes auront pour mandat d’éviter que la revue se crée une tour d’ivoire et d’assurer qu’elle soit à l’écoute des préoccupations de la société contemporaine, dans les pays du Nord et du Sud.